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Les « blancs », des juifs par extension ?

Alors qu’à l’extrême droite l’antisémitisme ne s’est pas renouvelé, voire se trouve mis en sourdine par les partis qui veulent se « dédiaboliser », nouveauté remarquable, un antisémitisme inclusif s’est maintenant banalisé non seulement à l’extrême gauche, mais parfois à gauche tout court. L’idéologie intersectionnelle parvient à en étendre aux « blancs » les catégorisations traditionnelles. L’association de l’antisémitisme et de l’hostilité aux « blancs », confondus avec les « Occidentaux », revêt en outre une portée géopolitique croissante.

Le DDV Par Le DDV
5 novembre 2023
dans Analyse
Temps de lecture : 10 min
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Kasimir Malevitch, Composition suprématiste : carré blanc sur fond blanc, 1918 (Museum of Modern Art, New York)

Kasimir Malevitch, Composition suprématiste : carré blanc sur fond blanc, 1918 (Museum of Modern Art, New York)

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François Rastier, directeur de recherche en linguistique, spécialiste des discours identitaires contemporains, du nazisme au décolonialisme.

Que dirait aujourd’hui un rescapé des camps d’extermination en voyant resurgir sous des formes grossièrement démagogiques le démon de la division de l’espèce humaine en races, en genres, en visions du monde etc., face à cette inversion diabolique de la différence en identité, face à la naturalisation des différences ?
Pierre Guenancia, L’homme sans moi (Puf, 2023, p. 16).

Revenons aux origines des théories racistes contemporaines. Épouvantés par les Lumières, la démocratie, les droits de l’homme et du citoyen, les idéologues réactionnaires du XIXe siècle se sont attachés à détruire le concept d’humanité par des théories racialistes, reprises diversement par les nazis comme par leurs collaborateurs. Ils reprirent la théorie du complot, dont, curieusement, la cible principale reste une variable : ainsi l’abbé Barruel attribuait-il la Révolution française aux menées des francs-maçons ; mais Les Protocoles des sages de Sion qui quelques décennies plus tard transposait aux juifs la théorie de Barruel n’est qu’une réécriture de sa somme complotiste.

À l’intersection des antisémitismes

L’antisémitisme a pris une nouvelle vigueur avec l’idéologie intersectionnelle, car elle parvient à combiner les formes les plus diverses de l’antisémitisme : celui, traditionnel, des islamistes de toutes tendances ; celui de Nation of Islam et des Black Muslims, qui s’est perpétué dans des manifestations du mouvement Black Lives Matter, où des commerces juifs et des synagogues furent dégradés ; l’antisionisme éliminateur d’une certaine extrême gauche ; l’antisémitisme de post-féministes radicales, évident dans des propos de Despentes ou des slogans hostiles à Polanski. Écrivaine laurée, Virginie Despentes rendit naguère cet hommage plus qu’empathique aux tueurs de Charlie Hebdo et de l’Hyper Cacher : « J’ai été aussi les gars qui entrent avec leurs armes. Ceux qui venaient de s’acheter une kalachnikov au marché noir et avaient décidé, à leur façon, la seule qui leur soit accessible, de mourir debout plutôt que de vivre à genoux. J’ai aimé aussi ceux-là qui ont fait lever leurs victimes en leur demandant de décliner leur identité avant de viser leur visage »1Voir « Les hommes nous rappellent qui commande et comment », Les Inrocks, 17 janvier 2015. Elle insulte ainsi la mémoire de Charb, qui après l’incendie islamiste de Charlie avait dit : « Je préfère mourir debout que de vivre à genoux » (Le Monde, 19 septembre 2012). Cela ne l’empêcha pas, en 2016, d’être nommée au jury Goncourt..

L’antisémitisme a pris une nouvelle vigueur avec l’idéologie intersectionnelle, car elle parvient à combiner les formes les plus diverses de l’antisémitisme.

La même Virginie Despentes, dans sa tonitruante tribune contre Polanski, où elle mêlait la pédophilie, la réforme des retraites et le mauvais goût des jurys, résumait : « C’est toujours l’argent qu’on célèbre dans ces cérémonies ». L’essayiste Pascal Bruckner lui répondit : « Qui aime l’argent ? […] Le Juif »2« De quoi Roman Polanski est-il le nom ? », Le Point, 5 mars 2020. Voir aussi Sabine Prokhoris, « Polanski, Césars de fiel », dans Transfuge..  Pendant cette soirée, des manifestantes reprenaient à l’extérieur ce slogan entraînant : « C’est Polanski qu’il faut gazer ! » (Rappelons qu’il est un survivant).

D’autres mesures eugéniques s’imposent aussi, selon Hafsa Askar, en 2016, alors vice-présidente de l’Unef à l’Université de Lille : « tt ce que j’ai à dire c’est les blancs arrêtez de vous reproduire », propos amenant cette conclusion en forme de mot d’ordre : « On devrait gazer tous les blancs, cette sous-race ». Si la hiérarchie des races est claire, le projet d’extermination laisse entendre que les blancs sont des juifs par extension, comme le souligne l’évocation du gazage et le terme de sous-race, qui renvoie à ceux que les nazis définissaient comme Untermenschen. On voit que l’antisémitisme intersectionnel a rencontré celui des Blacks Muslims et celui des islamistes3Askar a depuis lors supprimé le compte où elle avait posté son slogan. Lors de l’incendie de Notre-Dame de Paris, elle publia des propos comme : « Wallah vous aimez trop l’identité français alors qu’on s’en balek objectivement c’est votre délire de petits blancs. » (sic, la forme balek ajoute ici une touche d’orientalisme viril)..

Figure de l’islamisme, Houria Bouteldja, co-fondatrice du Parti des Indigènes de la République, publia naguère Les Blancs, les Juifs et Nous (2016), ouvrage qui dès son titre exclut de ce nous inclusif les deux ennemis désignés. Pour préciser sa pensée, elle avait déclaré, à propos du tueur antisémite de l’école juive de Toulouse : « Mohamed Merah, c’est moi », et par ailleurs : « On ne peut pas être Israélien innocemment »4April Benayoun est française… Bouteldja poursuit : « Chez les indigènes vivant dans l’hexagone, vous trouverez, chez les moins politisés, un antijuifisme confus, à mi-chemin entre l’antisémitisme gaulois, fruit de leur grande intégration, et l’anti-israélisme, fruit de leur spontanéité anticoloniale »., et des dizaines d’intellectuels, dont Annie Ernaux et Ludivine Bantigny, lui apportèrent, une fois de plus, leur soutien pour dissiper tout soupçon d’antisémitisme5Voir Nathalie Heinich, « L’invraisemblable pétition de soutien à Houria Bouteldja », Le Point, 22 janvier 2021.. Ici comme ailleurs, la violence et son déni vont de pair et se renforcent.

Antisémitisme inclusif

Bref, alors qu’à l’extrême droite l’antisémitisme ne s’est pas renouvelé, voire se trouve mis en sourdine par les partis qui veulent se « dédiaboliser », nouveauté remarquable, un antisémitisme inclusif s’est maintenant banalisé non seulement à l’extrême gauche, mais parfois à gauche tout court. Le rappeur Médine, invité de marque de LFI, de EELV et de la fête de L’Humanité, s’en prit en août 2023 à Rachel Khan, certes de père africain mais de mère juive, et surtout critique de l’idéologie intersectionnelle, en la traitant de « resKHANpée », fine allusion à ses grands-parents déportés par les nazis. La secrétaire nationale de EELV voulut alors rassurer en arguant que le rappeur était en voie de « déconstruction ». Soit, mais en quoi l’antisémitisme déconstructeur serait-il excusable ?

À l’extrême gauche au demeurant, l’idéologie intersectionnelle s’accommode parfaitement de références à des auteurs clés de la pensée nazie, comme Martin Heidegger et Carl Schmitt, connus pour leur antisémitisme prétendument métapolitique6Par exemple, Achille Mbembe, penseur décolonial connu pour s’appuyer sur l’idéologue nazi Carl Schmitt, a fait scandale en Allemagne par des écrits et conférences jugés antisémites. Schmitt est une référence constante d’auteurs comme Giorgio Agamben, maître à penser du Comité invisible, et plus généralement des théoriciens du populisme de gauche comme Ernesto Laclau et Chantal Mouffe, inspirateurs de Podemos comme de La France Insoumise. Heidegger est par ailleurs invoqué par les auteurs décoloniaux comme Enrique Dussel et Ramon Grosfoguel, quand ils définissent les cultures comme des « ontologies ».. Enfin, par une radicalisation sans précédent de l’antisémitisme, elle parvient même à en étendre aux « blancs » les catégorisations traditionnelles. L’antisémitisme n’est donc pas seulement un effet collatéral de l’idéologie intersectionnelle, mais au contraire un de ses fondements. Ceux qui l’ont élaborée, de Malcom X à Kimberlé Crenshaw, désignent les blancs comme responsables de toutes les discriminations. Mais les blancs ne seraient-ils pas des juifs par extension ?7Voir Pascal Bruckner, « Le racisme anti-blanc existe, c’est l’antisémitisme », Le Monde, 3 janvier 2014. Du moins auraient-ils gagné leur position dominante par le biais d’imaginaires marchands d’esclaves juifs.

Cette hypothèse rencontre hélas de multiples confirmations. Par exemple, l’écrivaine Helen Pluckrose et ses collègues ont soumis à une revue intersectionnelle un plagiat de Mein Kampf où le mot « juif » était simplement remplacé par « blanc » : ce plagiat fut accepté sans ciller8Voir Helen Pluckrose et James A. Lindsay, Cynical Theories: How Activist Scholarship Made Everything about Race, Gender, and Identity — and Why This Harms Everybody, Pitchstone, 2020. Tr. fr. Le Triomphe des impostures intellectuelles, Paris, H&O, 2021.. Ce n’est pas simple distraction, car on trouve une foule d’études inspirées par la « théorie critique de la race » où les termes caractéristiques de l’antisémitisme se voient attribués aux blancs ; par exemple, une revue majeure de psychanalyse publie ceci en 2021 : « La blancheur est une condition que l’on acquiert d’abord et que l’on a ensuite — une condition maligne, de type parasitaire, à laquelle les « blancs » sont particulièrement sensibles. Cette condition est fondamentale et génère des façons caractéristiques d’être dans son corps, dans son esprit et dans son monde. La blancheur parasitaire rend les appétits de ses hôtes voraces, insatiables et pervers. Ces appétits déformés visent particulièrement les peuples non blancs »9Je souligne ; voir Donald B. Moss, “On Having Whiteness.” Journal of the American Psychoanalytic Association, vol.  69, no. 2, pp. 355–71 : “Whiteness is a condition one first acquires and then one has—a malignant, parasitic-like condition to which “white” people have a particular susceptibility. The condition is foundational, generating characteristic ways of being in one’s body, in one’s mind, and in one’s world. Parasitic Whiteness renders its hosts’ appetites voracious, insatiable, and perverse. These deformed appetites particularly target nonwhite peoples. (…) There is not yet a permanent cure” (je souligne)..

On retrouve ici la phraséologie et les termes caractéristiques de l’antisémitisme évoquant des parasites menaçants et pervers. En outre, la blanchité est incurable, sinon par des « interventions socio-historiques » qui évoquent assez bien l’hygiène raciale pour que nous puissions détailler le cheminement historique de l’antisémitisme, du nazisme à la déconstruction et jusqu’à l’idéologie intersectionnelle.

Géopolitique de la haine

Loin d’être anecdotique, l’association de l’antisémitisme et de l’hostilité aux « blancs », confondus avec les « Occidentaux », revêt une portée géopolitique croissante. La haine d’un Occident essentialisé était déjà un grand ressort du nazisme. En premier lieu, la puissance économique des États-Unis désignait ce pays comme la tête de pont de la domination juive, si bien par exemple que Céline désignait ce pays en parlant des « judéo-nègres ».

L’antisémitisme, étendu au racisme anti-blanc, permet de dénoncer tout à la fois Israël et l’Occident, et sert de caution populiste à un front uni des tyrannies contre les droits de l’homme, la démocratie, et l’état de droit.

Bien qu’elle s’étende à des pays comme le Japon, la Corée du sud et Taïwan, la haine de l’Occident et l’antisémitisme se confortent mutuellement dans des conflits majeurs. En Russie, Vladimir Poutine justifie l’agression de l’Ukraine par le fait que ce pays est dirigé par un juif (bizarrement philonazi), et ne serait que la tête de pont d’une guerre menée par l’Occident, sous le commandement des États-Unis. Le 5 septembre 2023, Poutine déclarait par exemple : « Les manipulateurs occidentaux de l’Ukraine ont placé un Juif d’origine, une personne ayant des racines juives, un héritage juif, à la tête de l’Ukraine moderne. Ce faisant, à mon avis, ils couvrent l’essence inhumaine de l’État ukrainien actuel, les fondations sur lesquelles il est construit. C’est ce qui rend la situation tout à fait dégoûtante. Ce qui est dégoûtant, c’est qu’un Juif ethnique [ou « de souche »] dissimule la glorification du nazisme et protège ceux qui, à l’époque, ont supervisé l’Holocauste en Ukraine »10Voir l’analyse de ces propos par Pierre-André Taguieff dans L’opinion internationale..

Au Moyen-Orient, les Frères Musulmans, notamment ceux du Hamas, reprennent ce narratif en le transposant à Israël, qui serait le simple bras armé d’une croisade occidentale contre les Palestiniens et la communauté musulmane mondiale. Le chef du bureau politique du Hamas, Ismaïl Haniyeh, a déclaré le 24 octobre 2023 que « l’Occident avait dressé un mur entre lui et les peuples arabes et musulmans qui ne disparaîtra jamais », et ajoute : « L’Occident a perdu le sens de l’humanité en soutenant la guerre génocidaire (dans la bande de Gaza) ».

Dans les deux cas, l’antisémitisme, étendu au racisme anti-blanc, permet de dénoncer tout à la fois Israël et l’Occident, et sert de caution populiste à un front uni des tyrannies contre les droits de l’homme, la démocratie, et l’état de droit.

François Rastier a récemment publié Heidegger, Messie antisémite (Paris, Le Bord de l’eau, 2018) ; Exterminations et littérature (Paris, Puf, 2019) ; Petite mystique du genre (Paris, Intervalles, 2023).


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