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Quand l’Espagne perd son exception : Vox et la réémergence de l’extrême droite

L’Espagne a longtemps donné l’image d’un territoire sans extrême droite depuis la mort du général Franco. Pourtant, les caractéristiques du parti Vox mettent en évidence un lien fort avec la période franquiste et témoignent de la permanence des ultras dans la structure sociale.

Le DDV Par Le DDV
4 novembre 2025
dans Analyse
Temps de lecture : 11 min
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Santiago Abascal lors d'un meeting des Patriotes pour l'Europe, à Madrid, le 14 septembre 2025 (© Pablo Blazquez Dominguez / GETTY IMAGES EUROPE / Getty Images via AFP)

Santiago Abascal lors d'un meeting des Patriotes pour l'Europe, à Madrid, le 14 septembre 2025 (© Pablo Blazquez Dominguez / GETTY IMAGES EUROPE / Getty Images via AFP)

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Grégoire Laurent, journaliste

Créé en 2013, le parti d’extrême droite Vox fait irruption dans le jeu politique entre 2018 et 2020, à la faveur de trois évènements : les attentats islamistes de Barcelone des 17 et 18 août 2017, le « procès » (contre les indépendantistes catalans, lors duquel Vox fait partie de l’accusation) entre février et juin 2019, et le Covid 19. Actif depuis sa naissance contre l’avortement, le mariage homosexuel et plus généralement en défense de la famille traditionnelle, Vox devient finalement audible par d’autres sujets : l’unité de l’Espagne, la défense de la culture occidentale, ainsi que la critique de la mondialisation. Lors des élections provinciales andalouses de 2018, où le parti atteint les 11 %, puis dans celles qui suivent – élections législatives (15 %), puis européennes (6 %, puis 10 %) –, le parti dirigé par Santiago Abascal réalise ses premières percées. Pour la première fois depuis la mort du général Francisco Franco en 1975, l’extrême droite espagnole possède une représentation politique significative.

Pour beaucoup, cette émergence dans le jeu politique constitue une surprise. Depuis le début du XXe siècle et plus généralement depuis la mort de Franco, l’Espagne est en effet considérée comme une exception, voire une anomalie puisque, contrairement aux autres pays de l’Union européenne, les partis d’extrême droite y sont pratiquement inexistant. Dans un ouvrage qu’il consacre à analyser la continuité de celle-ci de 1975 à nos jours1La larga marcha ultra. Desde la muerte de Franco hasta Vox (« La longue marche ultra. De la mort de Franco à Vox », en français), Roca, 2022., le journaliste et universitaire Mariano Sánchez Soler conteste l’idée communément admise d’une transition démocratique réussie qui, après la fin du franquisme, serait parvenue à en finir avec le passé autoritaire et traditionnaliste de l’Espagne. Selon lui, Vox est au contraire un parti post-franquiste et le témoignage direct du retour d’une ultra2L’auteur utilise ici la terminologie « ultra » afin de définir la droite post-franquiste. Pour lui, comme pour les auteurs des ouvrages mentionnés dans l’article, même si ce terme est impropre à caractériser l’ensemble de l’extrême droite espagnole, il reste le plus proche de ce qu’elle est devenue : un mouvement anti-système aux positions radicales sur les questions de la famille, de l’avortement, de l’identité nationale et de l’immigration et qui agit parfois en marge de la légalité contre ses ennemis politiques (ndlr).-droite qui « n’était en réalité jamais partie ».

Transition sous influence

Pendant les années 1970, la société espagnole, dans sa majorité lassée de l’autoritarisme et du conservatisme, aspire à un changement de régime politique, mais aussi de mœurs. Consciente de cette évolution, l’extrême droite franquiste et post-franquiste délaisse peu à peu le terrain social à la gauche : la rue, les universités publiques, les usines, la bataille des idées en général et même, parfois, quelques paroisses.

Politiquement, la majorité du personnel qui avait participé aux différentes administrations franquistes n’accompagne pas les propositions post-franquistes qui s’opposent à l’ouverture démocratique, mais fait plutôt le choix stratégique de « faire des concessions et d’agir depuis un parti plus modéré afin de rester au centre de la vie politique » : le Parti populaire (PP). Celui-ci deviendra, à partir de sa création en 1989 par l’ancien ministre de Franco, Manuel Fraga3Manuel Fraga fut ministre du Tourisme et de l’Information entre 1962 et 1969 et également un des rédacteurs (un des « pères ») de la Constitution., le principal parti de droite. Et c’est peut-être ici que réside la principale « exception espagnole », c’est-à-dire dans le fait que « l’Espagne est aujourd’hui l’unique pays d’Europe où la droite conservatrice provient de l’extrême droite »4La larga marcha ultra… op. cit..

Afin de conserver une influence, en attendant un contexte plus favorable à l’expansion de ses idées, la droite ultra se dilue donc dans le principal parti « démocratique » de droite, le PP. Elle décide de liquider les institutions du régime au profit d’un processus de démocratisation qu’elle contrôle depuis le pouvoir exécutif, tout en continuant à agir depuis des secteurs stratégiques qu’elle contrôlait déjà pendant l’époque franquiste : les organes de justice (même si ses magistrats furent contraints de valider par la suite des lois relatives, par exemple, au « mariage égalitaire » et au droit à l’avortement ), de sécurité (la police, l’armée) et le secteur académique (où les universités créées pendant le franquisme – dont l’IESE Business School et l’Université de Navarre, fondées toutes deux par l’Opus Dei5L’Opus Dei est une congrégation catholique conservatrice née en Espagne en 1928 qui a participé aux différents gouvernements franquistes, dans lesquels les technocrates issus de ses rangs se sont chargés principalement des affaires économiques. – continuent à former les élites politiques, financières et judiciaires de demain).

De plus, se sachant dans un contexte national et international adverse, cette ultra-droite amplifie sa lutte contre son ennemi de toujours, le « danger communiste ». C’est ainsi que les services secrets espagnols, le Service central de documentation (Seced), travaillent conjointement avec la CIA avant même la mort du général Franco à la promotion du socialiste modéré Felipe González, plus consensuel et malléable qu’un éventuel candidat marxiste. Et qu’à la même période, ils créent ou laissent se créer des groupuscules armés : Défense Universitaire, qui deviendra les Guérilleros du Christ Roi, le Front de Libération national, le Comité de Justice patriotique, le Triple A (Alliance apostolique anticommuniste), le Commando patriotique incontrôlé, la Ligue espagnole antiterroriste… Ceux-ci agissent dans les universités publiques contre « la subversion étudiante », mais aussi « contre les entités culturelles de gauche »6La larga marcha ultra… op. cit., comme les librairies, ainsi que « contre les prêtres ouvriers ».

Bénéficiant du soutien logistique ponctuel du Seced, de la police et de la clémence du système de justice, ces organisations clandestines peuvent ainsi jusqu’en 1982 perpétrer leurs actes en toute impunité (un des cas le plus connu est celui de l’assassinat des avocats de la rue d’Atocha en 1977) et ainsi agir directement afin d’affaiblir l’idéologie marxiste. Cet accroissement de la violence politique par les organisations d’extrême droite dans les années 1970 et 1980, permet dans un premier temps de produire une image modérée de l’État franquiste puis du Parti Populaire, dans la mesure où l’accentuation des violences d’extrême droite les placent au centre de l’échiquier politique.

Vox, ou le renouveau du franquisme

Au moment de la transition démocratique, le rêve de certains ultras de convertir le franquisme sociologique en une force parlementaire identifiée comme post-franquiste ne se concrétise pas en termes de votes. La violence politique pendant la période de la transition fait le reste : pendant trente ans, l’extrême droite est ainsi absente des élections, tout en conservant une forme de contrôle et d’influence sur la société espagnole.

À partir des années 1990, les contradictions internes de la mondialisation et du capitalisme créent partout en Europe les conditions de l’apparition de courants politiques autoritaires. Cependant, l’émergence de Vox aux élections de 2018 est aussi à comprendre à la lumière de la « bataille culturelle » que mène l’ultra-droite sur le territoire espagnol depuis deux décennies. Une cartographie actuelle de ses réseaux met en effet en évidence un nombre important de médias en ligne, de think tanks, d’ONG, de fondations et de centres éducatifs qui cherchent à influencer l’opinion publique ou qui approvisionnent en cadres et en idées Vox mais aussi l’internationale conservatrice, notamment l’extrême droite latino-américaine.

L’éventail idéologique et les champs d’intervention de Vox sont caractéristiques de la diversité de la droite ultra telle qu’elle était déjà sous le franquisme.

L’éventail idéologique et les champs d’intervention de Vox sont caractéristiques de la diversité de la droite ultra telle qu’elle était déjà sous le franquisme. Comme pendant la dictature, c’est un chef unique7La Phalange espagnole est une organisation nationaliste fondée en 1931, qui a participé au soulèvement militaire de 1934 puis aux différents gouvernements franquistes dans lesquels elle était chargée principalement des affaires sociales. qui permet et facilite la synthèse des différents courants politiques : nationaux syndicalistes phalangistes, libéraux conservateurs, monarchistes traditionnalistes carlistes8Le carlisme est un mouvement politique traditionnaliste et monarchiste espagnol né au XIXe siècle qui a participé au soulèvement militaire de 1934 contre la République. et catholiques. Des factions qui s’opposent sur certaines questions (néolibéralisme versus étatisme par exemple, place de l’Église dans la société…), mais qui se rejoignent encore (comme c’était le cas pendant le franquisme) sur les questions liées à l’identité occidentale, l’unité de l’Espagne, l’autoritarisme et l’anti-communisme. Se définissant lui-même comme un mouvement anti-élites, anti-système, anti-migrants, anti-woke et anti-mondialisation, Vox rassemble ces différents mouvements d’extrême droite et témoigne de la vivacité de leurs productions intellectuelles actuelles.

Dans son travail de recherche sur la question ultra9La vuelta de los ultras que nunca se fueron (« Le retour des ultras qui n’étaient jamais parti »). Edition Akal, 2023., le journaliste catalan Xavier Rius Sant explore la continuité historique entre le franquisme et Vox. Pour lui, de même que pour Mariano Sánchez Soler, aussi bien sur le fond (idéologique) que sur la forme, Vox possède des traits franquistes ou post-franquistes : « Vox est un parti hiérarchique et centralisé en la personne de Santiago Abascal, dont les figures proviennent pour la plupart du Parti populaire, concrètement de sa frange la plus radicale, celle qui s’est opposée aux positions jugées trop centristes de Mariano Rajoy, principalement sur la question basque et les questions sociétales. »

Parmi ses créateurs, on retrouve en effet des personnalités du PP qui ont souvent un lien direct ou une sympathie avouée avec la dictature. C’est le cas, par exemple, de trois fondateurs du parti et membres des premiers bureaux politiques de Vox :Javier Ortega Smith (secrétaire général de Vox de 2014 à 2019), Jorge Buxade (député européen depuis 2019) et Kiko Méndez Monasterio (conseiller du parti, proche d’Abascal), tous sympathisants de la Phalange, le courant national syndicaliste du franquisme.

Une idéologie confuse

L’essor de Vox s’inscrit dans des contextes, national et international, favorables. Les nouvelles extrêmes droites montent en puissance à travers le monde – et notamment l’Amérique latine – et sont en passe de gagner la « bataille culturelle ». L’idéologie marxiste est affaiblie, la mondialisation avive des attentes sécuritaires et identitaires, l’universalisme recule. Mêlant des aspects conservateurs, néolibéraux, libertariens et souverainistes, l’idéologie du parti n’est pas monolithique autant sur les questions économiques que sur les questions sociétales et religieuses.

Récemment, Santiago Abascal a fait un appel du pied opportuniste à la communauté homosexuelle espagnole quitte à froisser la frange la plus traditionnaliste de son électorat en affirmant lors d’un entretien avec Servimedia qu’à l’instar de ce qu’il se passe en France « la majorité des gays vont prochainement voter Vox » car il s’agit de « l’unique parti qui veut expulser du pays ceux qui veulent les lancer d’un immeuble ou les pendre à une grue »10« Abascal cree va llegar momento mayor parte gais espanoles van votar Vox » Abascal croit que prochainement la majorité des gays espagnols voteront à Vox », en français), Servimedia.es,  octobre 2025.. Une ouverture envers la diversité sexuelle certes nuancée lors de ce même entretien par la réitération de clichés homophobes (« Il faut tout de même qu’ils arrêtent d’avoir des relations sexuelles dans la rue ») mais qui témoigne d’une duplicité de postures que l’on retrouve notamment dans sa relation au judaïsme.

Dans l’imaginaire de certains électeurs de Vox, Santiago Abascal, le port du corps haut, le regard déterminé et la barbe taillée en V incarne le soldat espagnol du XVIe siècle, celui qui a conquis l’Amérique avant de la christianiser mais aussi celui qui a reconquis le territoire ibérique en le libérant de ses composante juives et arabes. Aujourd’hui, si le rejet de l’islam et la nécessité d’expulser les migrants afin d’éviter une nouvelle invasion musulmane et la perte de l’identité espagnole, font consensus au sein de ses instances dirigeantes et militantes, sa relation aux croyants juifs est par contre plus confuse. Publiquement, Vox affiche en effet un soutien indéfectible à l’action militaire de Benjamin Netanyahou, il a d’ailleurs été un des principaux instigateurs de la conférence internationale contre l’antisémitisme organisée par M. Netanyahou à Tel Aviv en 202511On peut citer ici comme principal organisateur la figure d’Hermann Tertsch, euro député de Vox et fils du diplomate autrichien Ekkehard Tertsch qui était un proche collaborateur de Josef Hans Lazar, jadis chargé de presse du régime nazi à Madrid.. Une posture officiellement anti-islam et pro-Israël donc qui contraste cependant avec la réalité militante de Vox qui tolère en son sein des positions et des personnalités racistes mais également antisémites.

« [La] posture officiellement anti-islam et pro-Israël [de Vox] contraste avec la réalité militante qui tolère en son sein des positions et des personnalités racistes mais également antisémites. »

« Le corrompu Pedro Sanchez est l’employé de Soros ». Depuis 2013, le milliardaire américain est l’une des cibles privilégiées de Santiago Abascal, chantre selon lui de la mondialisation culturelle et « un ennemi des frontières européennes ». Un juif qui aurait « été victime de l’Holocauste » mais qui s’est ensuite « enrichi à travers la souffrance de millions de personnes ». La diabolisation de M. Soros12« Mostoles george soros historicos Abascal avivado congreso », Elespanol.com, octobre 2020. n’est pas un exemple isolé des relents antisémites qui continuent à se manifester chez Vox. Lors de la conférence « Viva 21. L’Espagne debout » organisée à Madrid en 2021, Vox avait ainsi invité le rappeur G. Babe qui s’était fait remarquer précédemment en interprétant « Je lutterai jusqu’à la fin, comme à Berlin », morceau à la gloire de la résistance d’Adolf Hittler contre les alliés. Une participation qui avait provoqué un trouble certain, tout comme la nomination au poste de secrétaire général de Solidaridad, le syndicat de Vox, de Jordi de la Fuente, un ancien conseiller municipal détenu en 2009 suite à la peinture sur les murs de la synagogue des Corts à Barcelone d’insignes antisémites en soutien du libraire négationniste, Pedro Varela.

La stratégie du flou

Approche idéologique confuse ou stratégie opportuniste, la posture et les positions de Vox sont aujourd’hui difficiles à cerner tant que Vox n’est pas dans l’exercice du pouvoir. Un accès aux responsabilités qui devrait encore attendre quelques échéances électorales puisque, comme le remarque M. Rius Sant : « Vox ne veut pas encore gouverner. Ils veulent encore laisser la main au PP et rester dans l’opposition. Cela leur permet de rester flous sur les contours de leur politique économique et sociétale et de se présenter comme les rebelles du monde politique, les anti-système, alors mêmes qu’ils sont les représentants des secteurs les plus traditionnels de la société espagnole ».

Installés depuis cinquante ans dans la vie politique sous couvert d’intentions démocratiques, les ultras espagnols sont, pour la première fois depuis la mort du « généralissime », à la porte du pouvoir politique. Pourtant, à l’instar des partis d’extrême gauche, ils sont attendus sur leur capacité à gouverner et sur la faisabilité de la mise en place d’un programme à la fois traditionnaliste et néolibéral qui respecterait l’identité espagnole tout en étant fortement ouvert à l’économie de marché.

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