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Nivedita Majumdar : « L’universalisme radical offre le cadre le plus pertinent pour combattre l’injustice »

Admettre l’instrumentalisation des idées des Lumières par l’Occident colonial ne doit pas aboutir à condamner l’universalisme, explique Nivedita Majumdar. L’enseignante nord-américaine s’insurge contre l’essentialisation des différences opérée par les théoriciens du postcolonialisme et défend un universalisme radical ancré dans les réalités locales. Entretien.

Le DDV Par Le DDV
9 mai 2022
dans Entretien
Temps de lecture : 9 min
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Nivedita Majumdar a publié « The World in a Grain of Sand : Postcolonial Literature and Radical Universalism » en 2021.

Nivedita Majumdar a publié « The World in a Grain of Sand : Postcolonial Literature and Radical Universalism » en 2021.

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Propos recueillis par Galaad Wilgos
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Nivedita Majumdar est professeure agrégée d’anglais au John Jay College, université de New York. Elle a notamment publié de nombreux articles et livres sur la littérature anglophone, le genre et la cultural theory. Elle est l’auteure de The World in a Grain of Sand : Postcolonial Literature and Radical Universalism, publié aux éditions Verso en 2021. Dans ce livre, elle formule une critique fine du postcolonialisme à travers une analyse des grands auteurs de ce courant de pensée, ainsi qu’une lecture approfondie du corpus littéraire du Moyen-Orient et du sous-continent indien. Elle cherche ainsi à réhabiliter l’universalisme et à en proposer une nouvelle vision, qu’elle qualifie de « radicale », en l’ancrant dans les réalités locales.

Pouvez-vous expliciter la critique que vous faites du postcolonialisme ?

Le postcolonialisme est fondé sur une critique du colonialisme et est influencé dans ses fondements par les théories postmodernes et poststructuralistes. Les postcoloniaux pensent que le colonialisme a été rendu possible par l’universalisation de la pensée des Lumières, qu’ils perçoivent comme essentiellement eurocentrique. Leur scepticisme envers les discours à prétention universaliste se traduit par une défense des pratiques culturelles, car la culture est vue par eux comme le domaine du local par opposition à l’universel ; ce domaine est perçu comme celui de l’expérience concrète, à l’opposé du discours des exploiteurs. Cette discipline situe donc les résistances locales dans le domaine culturel et prétend offrir un défi de fond aux diverses formes de domination.

« De manière assez ironique, les postcoloniaux reprennent le postulat colonial qui consiste à essentialiser les différences, même s’ils cherchent à privilégier la perspective du colonisé. »

Mon livre reconnaît les accomplissements extraordinaires de la pensée postcoloniale quant à la contestation et à la transformation assez large des contenus des études littéraires à l’université. Plus pertinemment, j’identifie les forces de motivation qui sous-tendent l’émergence de la discipline postcoloniale – notamment la remise en cause de l’idéologie de la domination coloniale dans la production culturelle. Cependant, j’ai un vrai problème avec ses idées centrales, à savoir l’anti-universalisme et la priorité accordée aux différences historiques, et j’appuie ma critique en ayant recours à la critique littéraire, qui est à la base le domaine de la théorie postcoloniale. À travers l’analyse de la littérature postcoloniale d’Asie du Sud et du Moyen-Orient, j’examine la façon dont la célébration des spécificités culturelles engendre une essentialisation des différences historiques ; la culture des colonisés devient ainsi un vecteur de contestation uniquement du fait de sa différence. De manière assez ironique, les postcoloniaux reprennent le postulat colonial qui consiste à essentialiser les différences, même s’ils cherchent à privilégier la perspective du colonisé. J’affirme pour ma part que le rejet du colonialisme et des autres idéologies de la domination n’a pas besoin de reposer sur une position anti-universaliste. Au contraire, un universalisme radical, vigilant à l’égard des oppressions comme des résistances où qu’elles se trouvent, offre le cadre le plus pertinent pour combattre l’injustice.

Quels sont les problèmes principaux que présentent les théories postcoloniales ?

Le champ postcolonial est marqué par une contradiction centrale. Il se détourne d’une analyse matérialiste et systémique du capitalisme comme des conflits collectifs mais il soutient en même temps une politique visant à mettre les marginalisés en avant. Cette contradiction l’amène à exprimer une série de positions intenables. Sa position fondamentale sur les Lumières, par exemple, postule un argument indéfendable. Il est certainement indéniable que les idéaux des Lumières ont été mobilisés par les puissances coloniales afin de servir leurs intérêts. Cela ne signifie pas pour autant, comme l’affirment les postcoloniaux, que ces idéaux sont irrémédiablement ternis ou qu’ils ont quelque chose d’intrinsèquement problématique. Les États-Unis, par exemple, mobilisent régulièrement les idées de démocratie et de progrès afin de justifier leur politique néocoloniale dans des pays comme l’Iraq. Mais cela ne délégitime en aucun cas les aspirations démocratiques des Irakiens eux-mêmes, aspirations qui commencent toujours par un rejet de ces justifications néocoloniales. De fait, les luttes anticoloniales partout dans le monde ont été influencées par les idées de démocratie et de liberté issues des Lumières.

« Ce que les théoriciens du postcolonialisme ne voient pas, c’est que bien que certains idéaux égalitaires soient nés en Occident, ils y furent obtenus à la suite de longues luttes menées par les opprimés de cette partie du monde. »

La pensée postcoloniale prétend que l’origine géographique d’une idée détermine son applicabilité. Elle associe les idéaux du socialisme, de la laïcité, des droits humains et autres à la modernité occidentale et ensuite rejette cette même modernité en tant que projet eurocentrique qui ne peut qu’être imposé dans les pays non-Occidentaux. Ce que les théoriciens du postcolonialisme ne voient pas, c’est que bien que certains idéaux égalitaires soient nés en Occident, ils y furent obtenus à la suite de longues luttes menées par les opprimés de cette partie du monde. Rien d’étonnant, dès lors, à ce que les gens qui luttent dans les pays non-Occidentaux contre les régimes oppressifs du colonialisme et du capitalisme fassent appel à – et adoptent – ces idéaux égalitaires. L’histoire locale et les conditions existantes vont ensuite sans nul doute façonner la trajectoire de ces idéaux dans leur adoption et leur réalisation, mais cela tout en maintenant leur essence.

En désignant la position géographique comme la problématique centrale – l’Occident oppressif contre le non-Occident victime – la pensée postcoloniale minimise les luttes existant au sein même du non-Occident. Dans ce paradigme, les travailleurs du Bengladesh luttant pour un salaire équitable peuvent ainsi être considérés comme prisonniers d’un discours eurocentrique de justice sociale, tout comme les femmes nigérianes se battant contre le voile peuvent être vues comme des créations du féminisme occidental.

Les débats en France tournent aujourd’hui plus souvent autour des questions de « décolonialisme » ou de « theories décoloniales » – qui semblent assez similaires aux théories postcoloniales sur bien des sujets (bien que leurs origines géographiques soient différentes). Avez-vous déjà eu affaire à ces théories et le cas échéant qu’en pensez-vous ?

Oui, le concept de décolonialisme est certainement plus populaire aujourd’hui que celui de postcolonialisme. Vous avez raison de noter, par ailleurs, que bien que leurs origines soient différentes, ils sont en réalité très similaires. Le concept de « décolonial » découle d’un autre concept, celui de « néocolonial ». L’idée de néocolonialisme est souvent utilisée de manière approximative par des théoriciens de diverses obédiences, afin de signifier la continuité du règne colonial dans le Sud sous d’autres formes. Les critiques culturels s’inspirent des théories du système-monde et de la dépendance qui perçoivent l’ordre mondial actuel comme étant divisé entre le Nord/l’Ouest – le centre du capitalisme – et l’Est/Sud – la périphérie exploitée et reléguée à un statut de sous-développement par le capitalisme – ; cette division recrée ainsi la vieille division entre colonisateurs et colonisés. Par conséquent, les critiques décoloniaux aiment souligner qu’en dépit de l’indépendance politique formelle des anciennes colonies, la culture du colonialisme, c’est-à-dire la « colonialité », y règne toujours en maître.

« Les idées de néocolonialisme et de colonialité servent à effacer les oppressions inhérentes au capitalisme non-occidental, ainsi que les résistances à celui-ci. »

Tant les décoloniaux que les postcoloniaux partent cependant du principe que le capitalisme serait fondamentalement occidental au lieu d’être un phénomène global. Ce qu’il est important de noter ici c’est que les idées de néocolonialisme et de colonialité servent à effacer les oppressions inhérentes au capitalisme non-occidental, ainsi que les résistances à celui-ci. La seule opposition politique qu’une telle perspective peut envisager est une opposition entre l’Occident impérialiste avec ses institutions de domination et le Sud. Mais le fait est que les travailleurs d’Amazon qui cherchent à se syndiquer à New York et les travailleurs qui luttent contre leur direction dans les usines de voitures Maruti, en Inde, ne luttent pas contre la colonialité mais bien contre la logique universelle de l’oppression inhérente à l’ordre capitaliste. Le néocolonialisme et les inventions du même genre comme le décolonialisme sont marqués par un double mouvement qui consiste à, d’un côté, généraliser et tout centrer autour du conflit datant de l’époque coloniale entre le colonisateur et le colonisé, et, de l’autre, supprimer les conflits, les oppressions et les résistances actuelles.

Qu’est-ce que l’universalisme radical selon vous, et en quoi est-il différent des autres types d’universalisme ?

Le rejet de l’universalisme dans le postcolonialisme et les théories du même genre repose sur le postulat que l’Europe a utilisé les idéaux de liberté et de progrès issus des Lumières afin de légitimer sa mission coloniale. Et comme leur tentative d’universaliser les idées des Lumières européennes a permis d’apporter une justification idéologique au colonialisme, l’universalisme devrait par conséquent être rejeté. Les théoriciens postcoloniaux ont certainement raison quand ils affirment que la classe dirigeante européenne a instrumentalisé les idées des Lumières afin de rationaliser leur entreprise coloniale, mais cela ne doit pas condamner l’universalisme pour autant. Le fait est que lorsque les colonisateurs européens tentèrent de justifier leur mission en prétextant promouvoir les idéaux des Lumières, ils n’eurent jamais l’intention de faire en sorte que les idées de liberté et de progrès soient réellement universalisées, tout comme les États-Unis ne « répandent » pas la « démocratie » au Moyen-Orient bien qu’ils emploient ce discours pour rationaliser leurs actions. Pour continuer sur les exemples plus contemporains, le problème posé par le rôle des États-Unis au Moyen-Orient n’est pas qu’ils universalisent l’idée de démocratie, mais bien le fait qu’ils sont en réalité en train de saper l’engagement démocratique dans cette partie du monde. Notez au passage que le coupable ici, ainsi que dans les cas précédents, ce n’est pas l’universalisme mais bien le colonialisme sous ses diverses formes.

« Ce que j’ai appelé un universalisme radical est enraciné dans les réalités locales mais est aussi capable d’en faire ressortir les besoins, les conflits et les désirs qui s’étendent à travers le temps et les cultures. »

Pour être clair, nous devrions être opposés à une vision trop générale de l’universalisme ou de « l’humanité commune » qui serait déconnectée de l’hétérogénéité des cultures et des économies ; de telles formulations seraient nécessairement vides et potentiellement oppressives. Mais nous ne devrions pas pour autant adopter les théories postcoloniales de la « différence » qui ne font qu’exotiser l’autre au nom du respect de sa culture. Dans les textes que j’aborde, les besoins universels, les aspirations et les dilemmes prennent des formes et des voix locales, mais ils sont reconnaissables précisément parce qu’ils décrivent des situations qui résonnent bien au-delà de l’endroit dans lequel leur histoire se déroule. Le local devient ainsi le lieu où l’universel prend forme – avec ses propres spécificités, bien évidemment, mais auquel on peut toujours s’identifier et qui maintient par ailleurs un dialogue constant avec ses incarnations à travers le monde. Tout en étant fermement enracinée dans les différences culturelles, la littérature montre que l’universel réside dans le particulier. Le fait d’aborder la culture de manière fine et de représenter les vies ordinaires comme n’étant pas juste des objets mais aussi des sujets de l’histoire s’ancre souvent dans ce que j’ai appelé un universalisme radical – un universalisme enraciné dans les réalités locales mais qui est aussi capable d’en faire ressortir les besoins, les conflits et les désirs qui s’étendent à travers le temps et les cultures. C’est un universalisme qui a une longue histoire dans la pensée socialiste et anticoloniale, qui était reconnu par Marx et défendu par des penseurs comme Frantz Fanon, Amílcar Cabral ou C.L.R. James.

LIRE AUSSI Daniel Bernabé : « Le néolibéralisme a confondu la différence et l’inégalité »

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