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Djaïli Amadou Amal : « Je dis tout haut ce que les femmes pensent tout bas ! »

Originaire de l’extrême nord du Cameroun, Djaïli Amadou Amal, peule et musulmane, témoigne dans son roman Les Impatientes des souffrances faites aux femmes dont la polygamie est l’une des composantes majeures. Elle a remporté le prix Goncourt des lycéens 2020.

Le DDV Par Le DDV
8 mars 2021
dans Culture
Temps de lecture : 10 min
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Djaïli Amadou Amal (crédit photo : Stéphane Vaquero)

Djaïli Amadou Amal (crédit photo : Stéphane Vaquero)

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Propos recueillis par Alain Barbanel, journaliste
(Entretien paru dans Le DDV n°682, mars 2021)

DDV : Avec votre roman Les Impatientes, vous avez reçu le prix Goncourt des lycéens. Que représente cette récompense attribuée par des lycéens âgés de 15 à 18 ans ?

Djaïli Amadou Amal : Ce roman aborde des sujets difficiles, les violences faites aux femmes, le mariage précoce et forcé, la polygamie dans l’Afrique subsaharienne. Je me disais qu’ils ne seraient pas forcément réceptifs à ces thèmes. Je suis agréablement surprise car cela me donne effectivement de l’espoir pour l’avenir. Ces violences que je décris sont un sujet universel, même si j’évoque les conditions des femmes du Sahel.

« Au bout de la patience, il y a le ciel », dit un proverbe peul. La description de la vie de ces trois femmes que vous racontez relève plutôt de l’enfer. L’avez-vous vous-même vécu ?

Ce roman est une fiction inspirée de faits réels. Ce sont des histoires de femmes dans des situations que j’ai moi-même connues, ayant été mariée de force à l’âge de 17 ans à un homme de plus de 50 ans. Le mariage précoce et forcé est une réalité dans toute la région du Sahel, le viol conjugal également, les violences physiques et psychologiques, la polygamie… Je voulais avec ce livre porter la voix de toutes ces femmes et dire tout haut ce qu’elles pensent tout bas.

Au fil de la narration, on est sidéré de constater que ces jeunes femmes adolescentes sont dans l’incapacité de fuir leur destin. Vous-même, vous en êtes sortie ?

C’est la littérature qui m’a sauvé la vie. Le seul moment de bonheur était d’ouvrir un livre pour échapper à ce que j’étais en train de vivre. J’ai trouvé ma propre thérapie en décidant de raconter tout simplement ce que je vivais. J’ai mis dix ans à écrire cette autobiographie, à exprimer tous mes ressentis. Quand j’ai eu mes premières filles, je me suis dit qu’elles allaient dès 14 ans être mariées de force comme moi et que je n’aurais rien fait pour les sauver. Cette prise de conscience m’a obligée à être suffisamment forte pour me sauver ainsi que mes enfants.

Comment sortir de cette prison ? Vous avez fui ?

J’ai mis cinq années pour divorcer de mon premier mariage, une période où j’ai souffert dans ma chair, dans mon âme. À l’époque, mes parents m’ont soutenue. Le divorce est accessible aux femmes, mais il faut en avoir le courage et la volonté d’aller jusqu’au bout. Le mariage précoce et forcé reste la violence la plus pernicieuse qui soit parce qu’elle entraîne toutes les autres violences qui ne sont pas que physiques ou psychologiques. Imaginez une jeune fille qui n’a jamais terminé ses études, qui n’a pas de métier, qui n’a pas de terre, qui passe d’une dépendance parentale à celle d’un époux. Où voulez-vous qu’elle parte et pour quoi faire ? Comment vit-elle sans être autonome financièrement ? La violence est aussi économique. Retourner chez ses parents et attendre un prochain mariage ? On n’en sort pas, c’est un vrai tunnel…

Vous avez donc divorcé puis vous vous êtes remariée avec cette fois un homme que vous aviez choisi ?

Oui, j’aimais cet homme, mais j’ai regretté ce choix quand je me suis rendue compte que j’étais cette fois encore sous l’emprise de la violence conjugale : des coups, de l’oppression, des violences verbales, des viols… Cet homme était polygame et avait d’autres enfants avec d’autres épouses. Mes filles m’ont donné le courage de partir une nouvelle fois, pour les sauver elles… Je me suis enfuie de ma ville natale pour partir dans la capitale, j’ai travaillé et me suis inscrite à des ateliers d’écriture. J’ai compris que l’écriture pouvait être une alliée et une arme dans ce combat.

Votre mari n’a pas cherché à vous retenir ?

Si, j’ai subi beaucoup de pressions. Il a kidnappé mes enfants que je n’ai pas pu voir pendant deux ans, m’a dépossédée de tout et a menacé de me mettre en prison sans parler des menaces de personnes qu’il m’avait envoyées pour me récupérer. Je n’ai pas cédé et me suis battue jusqu’au bout. Puis j’ai publié mon premier roman, Walaandé, l’art de partager un mari, aujourd’hui au programme scolaire au Cameroun, qui parle de la violence faite aux femmes vivant dans un milieu polygamique dans la société peule du Sahel. C’était la première fois qu’une femme du grand Nord Cameroun prenait la parole, en brisant les tabous et en décrivant de l’intérieur de la maison ce qu’il s’y passait. C’était briser l’omerta pour toutes ces femmes. La presse du pays m’avait surnommée « la voix des sans-voix ».

Comment êtes-vous perçue aujourd’hui dans votre pays ? Ne craignez-vous pas pour votre sécurité ?

J’ai été soutenue par l’administration de mon pays qui a jugé qu’avec ce premier livre, elle avait un support pour pénétrer à l’intérieur de nos maisons, totalement fermées sur elles-mêmes. Mais j’ai reçu aussi beaucoup de menaces verbales lors des séances de dédicaces ou des conférences que j’ai données. Sans oublier les réseaux sociaux ! Mon éditeur et moi-même avons été aussi menacés par Boko Haram (mouvement insurrectionnel terroriste d’idéologie salafiste djihadiste) très actif dans le Nord du Cameroun. Nous n’avons jamais cédé.

Entre le premier roman et Les Impatientes, dix années se sont écoulées. Que s’est-il passé ?

J’ai porté mon combat dans les médias, dans les journaux et sur les ondes locales pour qu’il soit accessible au plus grand nombre. Bien sûr, je fais toujours l’objet de critiques parce que je brise des tabous et j’entends aussi ceux qui me font un faux procès en m’accusant d’être contre l’islam alors que je suis une musulmane pratiquante et que je connais très bien les textes religieux. Mon propos n’est pas de critiquer la religion mais de pointer du doigt des pratiques traditionnelles qui font souffrir les femmes.

Ce que vous dites fait résonance avec le débat en Europe sur l’islamophobie…

Le plus important pour moi c’est l’écho que Les Impatientes obtient dans le monde. J’ai été très sensible que ce prix soit relié à l’Orient. Ce sont dix pays de cette partie du monde qui ont plébiscité mon roman. C’est un bon signal pour ceux qui me reprochent d’être opposée à ma communauté. Mon propos porte sur la condition des femmes au Sahel et sur les violences qui leur sont faites dans le monde, et non sur l’islam. Je suis légitime pour porter cette sensibilisation parce que je l’ai vécu et que je suis à même de témoigner sur ces pratiques liées à la polygamie.

Sous couvert d’invitation à la patience, le terme Munyal est un appel à la résignation et au silence. Il y a quelque chose qui est de l’ordre du totalitarisme, d’un système de complicité où les victimes jouent elles-mêmes le rôle de bourreaux à l’égard de leurs congénères.

Oui, c’est souvent le cas, les femmes n’ont pas conscience de leur situation et perpétuent les violences faites aux autres femmes. Ce que je décris concerne les conditions des femmes en Afrique subsaharienne aussi bien chez les musulmans, que les chrétiens, les animistes, les Peuls, et les autres cultes traditionnalistes locaux. Ce que je dénonce concerne la mauvaise utilisation des traditions et l’interprétation erronée des textes religieux. Ceci vaut pour toutes les situations de polygamie en Afrique.

La coépouse est vécue comme une rivale par la première épouse qu’elle cherche souvent à détruire. C’est un drame humain pour les deux…

En Occident, on a tendance à croire que la polygamie est liée à la religion, c’est faux. C’est une pratique qui est issue des traditions culturelles. C’est même un enjeu de culture. Il faut savoir qu’au Cameroun, vous pouvez choisir votre régime au moment du mariage civil pour décider ou non de la polygamie, mais c’est toujours une décision unilatérale faite pour les hommes. Personne ne tient compte de ce que la femme veut et ce qu’elle attend de son futur époux. Je ne peux accepter la polygamie, pour l’avoir vécue, ni pour moi ni pour mes enfants. Au-delà des pressions et des traditions, les femmes doivent se révolter contre cette pratique qui n’a pas lieu d’exister. De plus, la coépouse est ressentie comme une rivale qui est là pour prendre votre place. C’est un cercle vicieux où vous vous retrouvez à défendre votre position ! On vous refuse le droit d’exprimer ce que vous ressentez. Vous êtes vite taxée de mauvaise épouse si vous commencez à vous y opposer. Ce terme Munyal que j’utilise exprime justement tout ce poids étouffant de cet environnement qui vous oblige à faire semblant, sans vous plaindre : « Sois patiente, les choses vont s’arranger… » Dans notre culture, l’hypocrisie devient une valeur ! Le chantage affectif joué par les proches autour de cette « patience » est aussi dangereux dans cette situation.

Existe-t-il une forme de perméabilité à des influences étrangères qui peuvent influencer dans le bon sens les comportements… ou au contraire jouer une fonction repoussoir sous forme de paradoxe comme vous l’écrivez : « On n’est pas chez les Blancs, ici » (p. 43) ?

Nous sommes ouverts sur le monde et aussi connectés aux réseaux sociaux. Nous regardons les séries et les films, et pouvons aspirer à d’autres modes de vie. Mais nous tenons à nos traditions et ne voulons pas devenir occidentaux. Il faut trouver le juste milieu, en conservant les aspects positifs de notre culture et profiter de l’influence de l’Occident comme sur le plan de l’éducation par exemple. Mes détracteurs disent que je cherche à m’occidentaliser ! C’est faux, je décris et je témoigne sur les violences faites aux femmes et je refuse qu’on me mette dans une case. L’Occident est aussi concerné que nous par les violences et les féminicides, c’est un sujet universel.

Comment les autorités de votre pays réagissent-elles à ces pratiques ?

Les lois existent mais ne sont pas appliquées. Un environnement difficile, une précarité totale, un accès difficile à l’éducation, une eau qui devient de plus en plus rare, sont autant de facteurs qui ne créent pas de bonnes conditions pour les femmes. Les familles démunies et qui ne peuvent plus subvenir aux besoins de leurs enfants voient dans le mariage une solution commode pour offrir à leurs filles un meilleur niveau de vie et surtout les « protéger ». Chez nous, l’insécurité économique et politique, avec des incursions de groupes terroristes et des rafles de jeunes filles, aggravent encore la situation des femmes. Les parents préfèrent les mettre dans les mains d’un soi-disant « protecteur » pour échapper au risque d’enlèvement ou de viol, considérant que le mariage reste un moindre mal… Ils se raccrochent à la tradition. Il faut considérer tous ces éléments pour prendre la mesure des souffrances faites aux femmes et en comprendre les origines et les causes.

(crédit photo : Stéphane Vaquero)

En Europe, on entend assez peu les mouvements néo-féministes sur les situations que vous connaissez. Comment l’expliquez-vous ?

J’ai moi-même participé en France à des débats sur le féminisme. Nous ne sommes pas sur les mêmes combats. J’ai créé une association Femmes du Sahel (lire encadré) qui se bat pour l’éducation des filles, la lutte contre le mariage précoce et forcé, les violences… En Afrique, nous restons sur les fondamentaux, c’est-à-dire les droits que les femmes ont revendiqués en Europe il y a près d’un siècle, celui d’aller à l’école, de s’éduquer, d’avoir les mêmes droits que les hommes. Je me souviens d’un débat où j’avais en face de moi des femmes membres du « Femen » qui nous expliquaient comment elles revendiquent le droit pour les filles de ne pas mettre le soutien-gorge à l’école. Ce qui me laisse penser que nous sommes sur des préoccupations bien différentes. Je ne juge pas, mais nous au Sahel, nous devons tracer notre route. Pour moi être féministe c’est me battre pour tout autre chose qui sont des urgences. Le reste n’est pas ma culture et je ne suis pas en mesure de pouvoir me saisir de ces revendications. Ce qui n’empêche pas que nous avons des discussions avec des associations qui peuvent être enrichissantes.

Vous êtes accomplie aujourd’hui en tant que femme ?

Oui je me suis remariée à un homme que j’ai choisi, qui est ingénieur et écrivain également. Il me comprend, me soutient et n’est pas polygame. Je ne l’aurais jamais accepté. Je continuerais à écrire et parler de la condition des femmes, en y mêlant à la fois mon combat et la dimension artistique et littéraire. Avec des histoires que j’espère accessibles au plus grand nombre !

Djaïli Amadou Amal, Les impatientes, Emmanuelle Collas, 2020, 252 p.
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